mardi, décembre 08, 2009

Marco Enriquez-Ominami, rebelle de la gauche chilienne


A l'élégante terrasse du café Mozart, au coeur du quartier chic de Vitacura, dans le nord de Santiago, la capitale chilienne, des hommes politiques le saluent paternellement. Des passants l'interpellent affectueusement. Marco Enriquez-Ominami sourit. Un sourire large dans un visage encore poupin.